vendredi 4 juillet 2008

5743 ....

C' est le nombre de signatures militantes qu'a déjà recueilli la Contribution de Désirs d'Avenir portée par Ségolène Royal dans le cadre du Congrès socialiste de Reims en Novembre prochain.

Un record historique pour une contribution générale. Cela confirme bien que Ségolène Royal a toujours le soutien massif et la confiance des militants socialistes .

Un espoir ?

pour consulter cette contribution
http://congresutileetserein.com/files/Combattre_et_proposer_contribution_segolene_royal.pdf

8 commentaires:

Désir d'Avenir 13e a dit…

Je pense même qu'on doit dépasser les 6000 déjà :)

Anonyme a dit…

Bonsoir,
Ce n'est pas le tout de gagner les étapes, il faut gagner à l'arrivée...
Comme disait mon grand-père, c'est à la fin de la foire qu'on compte les bouses !!!

Françoise Mesnard a dit…

votre grand-père ne serait-il pas du Faubourg, par hasard ???!

Anonyme a dit…

Re,
Mon défun grand père n'habitait pas Saint Jean d'Angély, désolè !

Anonyme a dit…

défunt, pardon

Anonyme a dit…

Merci grâce à votre blog Madame nous pouvons mieux être informés sur la contribution de la présidente de la région. Bon courage. Et soyez tenaces.

Anonyme a dit…

Bonjour

J'ai lu cette contribution.

Beaucoup de vaine démagogie anti-sarkozy en apéritif, peu de réalisme économique en plat de résistance, malgré quelques bons principes sur les PME et le "small business act" mais pas de véritable idée sur un meilleur mode de partage capital-travail.

Cela ne suffira pas pour faire de Mme Royal une alternative crédible.

Le congrès va formaliser la déchirure du PS et étouffer le vent réformateur.

Bon courage à vous: la route sera longue!

Anonyme a dit…

Pour compléter ce triste épisode si cela vous agrée:La déclaration de Ségolène Royal sur la libération d'Ingrid Betancourt depuis le Québec jeudi continue de faire des vagues, à droite et maintenant à gauche. Ainsi, après les critiques de Fillon et Raffarin, c'est Jack Lang qui a estimé vendredi que "minimiser" le rôle de Nicolas Sarkozy dans cette libération relevait d'une "rare mesquinerie et d'un manque d'élégance morale". L'ancien ministre, également membre des comités de soutien à l'ex-otage, a jugé dans un communiqué qu'"en cette heureuse journée de retour en France d'Ingrid Betancourt, un seul sentiment devrait unir les Français : le bonheur de l'accueillir". "Les querelles autour d'une prétendue récupération politique me paraissent dérisoires", a poursuivi le député du Pas-de-Calais."Pour avoir personnellement participé à l'Elysée, en décembre dernier, à une rencontre entre le président Sarkozy et le président Chavez, je peux témoigner que le président français n'a pas ménagé sa peine pour arracher Ingrid Betancourt à ses geôliers", a-t-il ajouté.

Dans la même veine, le député PS Philippe Martin, également président du conseil général du Gers, a jugé les propos de Ségolène Royal "assez tristes et un peu consternants". Pour ce député fabiusien, "on veut pouvoir avoir l'air d'être le premier opposant à Nicolas Sarkozy mais il y a d'autres sujets sur lesquels on peut s'exprimer avec plus de véracité". "Qu'on le veuille ou non, les appels qu'il a pu faire passer, parfois par Radio France Internationale, la mobilisation qu'il a entretenue en France ne sont pas de nature à faire l'objet d'une critique". Pour le député socialiste, la libération de l'ex-otage des Farc "est effectivement une victoire de la stratégie un peu forte des autorités colombiennes". "Mais on ne peut pas dénier au président de la République d'avoir maintenu la mobilisation publique sur ce sujet consensuel", a-t-il souligné. "Peut-être qu'il (le président Sarkozy, ndlr) va surjouer le rôle qu'il y était pour beaucoup. A ce moment-là cela deviendra peut-être désagréable, mais pour le moment ces critiques ne sont pas du bon niveau", a-t-il Philippe
Martin.

A peine rentrée de Québec, Ségolène Royal a tenté de couper court vendredi à une "polémique indécente soulevée par la droite" sur des "propos sortis de leur contexte", affirme-t-elle. "Le moment n'est pas à la polémique politicienne", a-t-elle conclu. Sous couvert de l'anonymat, un cadre socialiste adversaire de Ségolène Royal cité par l'AFP a jugé sa déclaration "juste mais maladroite", parce "qu'une polémique sur une libération c'est une c...". L'opposition frontale revendiquée par Ségolène Royal, notamment depuis la présentation samedi de sa contribution au congrès de Reims, "risque de devenir obsessionnelle", ironise ce cadre.